Rue du Théâtre | Michel Voiturier - 10/09/2019
Être double pour trouver l'unité
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Deux partenaires dissemblables, deux types de chorégraphies, deux pratiquesdivergentes pour dire la complémentarité, la fusion artistique de deux gestuelles qui réclament un engagement corporel intense. [...] Ce spectacle [apporte] un souffle particulier grâce à cette performance palpitante d'une humanité habitée par la force autant que la fragilité.
Lëtzebuerger Land | Godefroy Gordet - 13/03/2020
Julien Carlier et Mike Sprogis nous transportent, les pieds ne touchant plus sol, l’esprit en lévitation, avec leur très réussi GOLEM.
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GOLEM jubile ainsi d’une mise en scène des deux interprètes, en jeu de miroirs, où la création de l’un se suffit à elle-même, mais trouve une puissance artistique magistrale combinée à l’autre.
Focus - Le Vif | Estelle Spoto - 06/08/2020
Un duo entre sculpture et danse semé de métaphores sur la condition humaine et la création.
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Deux hommes que tout oppose a priori, pas du même âge, pas du même
pays, pas de la même discipline, mais que ce GOLEM réussit à rapprocher, en déclenchant toute une série d'images évocatrices. [...]
Un spectacle hyper concret mais carrément métaphysique.
La Libre | Marie Baudet - 14/03/2022
L'inattendu, la force et la douceur irriguent GOLEM avec justesse et sensibilité.
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Présent, le sculpteur est monté sur une chaise. Bientôt l'action suivra les mots. Le hip hop quintessentiel du chorégraphe défiant l'apesanteur. Le geste du plasticien dévoilant la glaise, la malaxant, luttant avec la masse et l'épousant.
L'Avenir | Nathalie Boutiau -25/04/2022
GOLEM, une sculpture dansée.
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Poésie visuelle, grammaire du geste ? GOLEM reste une proposition dansée qui raconte deux parcours, leur singularité, leurs spécificités jusqu’à trouver là un point de rencontre, une interaction. L’un devient alors le miroir de l’autre, sa marionnette, son double. La danse en devient le réceptacle de tous les possibles.