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Everything theater | Mary Pollard - 28/01/2023
Still Life are an extraordinary Belgian theatre company, bringing Flesh to London for the first time as part of the London Mime Festival.
Flesh is a fascinating and wonderfully entertaining work, both beautifully understated yet epically impressive, and crafted with meticulous precision.
Broadway world | Alexander Cohen - 26/01/2023
Heartfelt tragedy and unspeakable beauty
From four images flow a smorgasbord of emotions. They split out off the stage and fill the Barbican Theatre with their tender embrace. ln just under an hour and a half Flesh communicates tragic truths about the human condition all without uttering a word.
Libération | Anne Diatkine - 22/07/2022
En quatre petites pièces sans parole, le collectif Still Life dessine, entre fantastique et horrifique, un univers où toute rencontre charnelle vire à la catastrophe.
Ce sont quatre pièces muettes et concises autour de l’étreinte, des flashs pourrait-on dire, si frappants qu’ils se passent de paroles – le spectateur prend le relais, ...
SACD | Interview avec Marie Baudet - 21/07/2022
L'Écriture instinctive et spécialisée de Still Life
Ce qui compte et que nous avons absolument envie de creuser, c'est cette expérience collective du vivant au même moment au même endroit, sans interférence. C'est tellement important, nécessaire, et de plus en plus rare.
Transfuge | Hughes Le Tanneur - 08/07/2022
Dans FLESH, Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola fouillent à coups de bistouri l'épaisseur de la chair humaine.
L'humour noir flirtant avec la fantaisie la plus débridée est la tonalité dominante de FLESH, spectacle sans parole mais d'une impressionnante force plastique.
Luxemburger Wort | Stéphane Gilbart - 14/03/2022
Corps à corps
« SI FLESH nous touche tant, c'est grâce au magnifique travail de la compagnie Still Life [...]. Quelle précision dans le jeu ... corporel, dans le moindre détail de celui-ci, quel découpage précis des séquences, quel maîtrise du rythme de la représentation. On se réjouit du spectacle, on réfléchit à ce qu'il nous dit. »
Moustique | Éric Russon - 26/02/2022
Les amateurs de burlesques intelligent (et de Terry Gilliam) apprécieront.
« La compagnie Still Life de Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola s'attaque à la thématique du corps dans un spectacle visuel, à la fois léger et profond, qui rassemble quelques histoires courtes.
Le Suricate | Sûrya Buis - 21/02/2022
Une satire contemporaine avec un goût de Black Mirror théâtral.
En nous propulsant d'une chambre d'hôpital à une Virtual room, les 1h15 du spectacle de [la cie] Still Life tanguent entre malice et tragédie. Une réussite qui tient l’œil du spectateur captif malgré l'absence de dialogue.
Point Culture | Jean-Jacques Goffinon - 23/02/2022
Désopilant est ici un piètre mot, glaçant l'est tout autant !
Le spectacle fait appel à tant de registres conjugués à la perfection qu'il en est magnifié, le travail esthétique largement à la hauteur de ce que la Cie Still Life a l'habitude de proposer.
Le Soir | Jean-Marie Wynants - 21/02/2022
En quatre petites histoires muettes, Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola montrent à quel point le contact humain, en chair et en os, nous est indispensable.
Entre rire et émotion, Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola [...] nous entraînent dans leur monde où les gestes prenent le pas sur la parole.
Demandez le programme| Didier Béclard - 21/02/2022
L'irrépressible besoin de se connecter à l'autre. [...] À découvrir.
Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola pénètrent dans l'intimité des rapports humains. Entre émotion et rire, FLESH magnifie le toucher de la chair, le contact physique, l'étreinte reléguée au rang de fantasme en ces temps de pandémie.
Focus - Le Vif | Estelle Spoto -18/02/2022
Misant toujours sur la puissance du non verbal, la compagnie Still Life compile dans FLESH quatre scènes courtes où il est question de chair vraie et fausse, de vie et de mort. [...] drôlement bien tapé.
L'Écho | Aliénor Debrocq -12/02/2022 (avant-papier)
Trois ans après NO ONE, la cie Still Life retrouve la scène des Tanneurs pour une création en quatre formes courtes, comme autant de pulsions.
Les deux fondateurs de Still Life aiment dire qu’ils dépeignent sans mots « un monde où tout va formidablement mal »
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